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Notre première balade, le saut d'acomat...Une descente un peu accidentée pour arriver à une magnifique cuvette pour une baignade vivifiante.

 

 

ensuite vient l'heure l'heure de la plongée, ce sera le jardin de corail dans la réserve Cousteau - dont j'ai pu observer la statue déposée par 12 m de fond- devant les îlets pigeons face à la plage de malendure. Une reprise bien tranquille avec pas mal de corail et pleins de poissons colorés.

 

 

Mardi 1er mars, Pour Samuel c'est décidé ce matin on grimpe la vieille dame de Guadeloupe, La souffrière. Une marche de 1h15 d'abord dans la forêt tropicale humide puis avec une vue magnifique sur les saintes nous mène au sommet et à la descente, la récompense des bains jaunes, sources chaudes...

 

 

 

La suite, c'est picnic à Matouba puis le saut de Matouba après une traversée de champs de bananes et une descente boueuse.

 

 

Mercredi 2 mars, pour moi c'est plongée le matin en compagnie de Jean-pierre et des murènes vertes sur l'épave du Frankjack, un ancien sablier d'une quarantaine de mètres de long coulé à 28m de profondeur non loin de la réserve Cousteau pendant que Samuel et Gabin vont à la plage.

 

 

Puis vient l'heure de manger et là, quel régal et quel décors ! Après un bon repas rien ne vaut un bon cacao...

 

 

La pluie va écourter cette après midi, Samuel qui souhaitait voir la pluie tropicale sera comblé.

 

 

"La route de la traversée", comme son nom l'indique traverse la Basse-Terre et constitue à elle seule tout un programme...celui de notre journée du vendredi 4 mars.

Mais pour bien commencer la journée, rien ne vaut une baignade matinale et il est grand temps pour nous de découvrir la plage de la Grande Anse...

 

 

Requinqués, nous faisons route vers le parc des Mamelles, avec l'idée de présenter à Gabin Ratons Laveurs, Iguanes, Aras et même le jaguar face auquel ce petit monsieur a même l'honneur de déjeuner pendant que papa fait grimpette dans les arbres, et oui, accrobranche pour grand monsieur.

 

Puis une marche depuis la maison de la forêt au cours de laquelle nous nous faisons rincer, et quand il pleut la forêt tropicale humide est sacrément humide et nous aussi, en quelques secondes alors pris au dépourvu au milieu d'une balade en forêt...

 

 

La cascade aux écrevisses, celle ci ne se mérite pas, non loin de la route accessible via un chemin pavé...contrairement au saut de la lézarde, notre prochaine étape qui consiste en un bain de boue, glissades assurées, n'est-ce pas Gabin ? Une fois couvert de boue, on apperçoit une bien belle bassine alimentée par une jolie chute, en somme tout ce qu'il faut pour se nettoyer mais hélas la remontée dans la boue n'épargne guère plus que la descente...Il est temps de tracer vers la douche "Caraïbe bonheur" !

 

Finit la pluie, demain direction les Saintes.

 

 

Les Saintes se présentent comme un petit chapelet de 9 îlets arides et escarpés. Deux de ces îlets sont habités : Terre de Haut, un îlet allongé de 5 km2 au centre de l’archipel, et Terre de Bas, l’îlet le plus grand de 8 km2 à l’ouest de l’archipel, de forme plus arrondie, c'est celui que nous avons visité avec ses plages, ses Iguanes et son fort Napoléon.

 

 

Le dimanche 6 mars, veille de notre départ, c'est plage avec Boubou...